Construction de Tigibus...

 Encore un titre qui ne va pas bien passer à la moulinette du traducteur automatique... En parallèle des activités "manuelles", je me suis attelé à créer un logo pour l'aventure. Ca a été l'affaire de 15 minutes avec Gemini et le résultat est à mon gout :  Tigibus, pour rappel, c'est le petit frère de Grangibus dans le roman de Louis Pergaud, adapté moultes fois au ciné "La guerre des boutons". Il suit son grand frère partout et à un moment il s'exclame "Ben mon vieux, si j'aurais su, j'aurais pas venu!", typiquement ce que je vais me dire au milieu de l'atlantique... Pas sûr que les photos ne rendent bien ces quelques mois passés dans les vapeurs d'époxy, de peinture, et de poussière. L'idée est simple : on égalise la surface au mastic époxy, on passe l'apprêt sur la coque, puis l'apprêt antifouling sous la ligne de flottaison et hop on retourne le bateau. En fait, j'ai passé 33 heures à mastiquer et 39 heur...

Bienvenue sur Blogger!  L'interface absolument ignoble de Blogspot m'a convaincu de reprendre le blog sur une nouvelle plateforme. J'espère que Blogger sera mieux car je construis un bateau, pas un Blog. Que d'aventures depuis la fin du placage... Je vais essayer de raconter dans l'ordre ce que je n'ai pas fait dans l'ordre. une fois la coque poncée, la première étape consiste à stratifier les bouchains et les accostages de panneaux. Assez simple.  Le bouchain inférieur est stratifié en 2*600g/m2 que je fais en une seule passe. les accostages en 200g/m². le bouchain supérieur en 600g/m² ma première erreur a été de faire le mauvais choix entre les options A et B ci dessous pour lisser la surface avant la stratification. (le bon choix est A : il faut tout stratifier puis mastiquer). Donc j'ai mastiqué les rebords de fibre avant de stratifier (les traces blanches sur les photos) Option A Option B Au final, la suite de l'histoire montrera que ce fut sans...

 2 mois sans post.  6 semaines de froidures et de thermomètre trop bas pour l’époxy.  Donc 6 semaines de ski de rando et de randonnées dans la neige.  J’aurais pu continuer à chauffer, mais un garage de 70 m² non isolé, autant chauffer les nuages.  D’autant que le compteur de chantier indique presque 900kWh de consommation en novembre et décembre… Donc une fois les températures remontées, le plaquage reprend.  Pas de difficultés particulières, à part que c’est long… Le protocole :  positionner la planche à blanc, la faire tenir avec 4 vis marquer la position des longerons sur la face interne pour savoir où visser enlever la planche faire les perçages des vis qui vont sur les longerons à l’envers (tous les 15cm, j’ai décidé) poncer les parties à coller encoller les longerons positionner la planche percer et visser ébavurer la colle nettoyer à l’alcool avant que cela ne sèche Le...

 Ce post devait à l’origine parler de rabotage… et uniquement de rabotage.  Mais finalement ça n'a pas été si pire, à part quelques erreurs et après quelques séances de rabotage et sacs de copeaux, c’est fini. La preuve en image :  J’utilise un linteau devant mon rabot électrique pour être dans le bon plan de rabotage, astuce trouvée sur le site de kolibri, mon fournisseur de kit CP. C’est pratique. Tous les blogs disent que les lames du rabot souffrent à cause des vis, je confirme…. Il faut beaucoup retirer de matière au niveau des couples avant (normal, il y a l’angle de l’étrave. Mais bien sûr, je fais des erreurs. une en particulier, pas très grave mais quand même : le CP n’aime pas du tout être raboté perpendiculairement aux feuilles : ça le délamine : Je réparerai ça plus tard à l’époxy. Vient maintenant la pose des panneaux de coque.  Casse-tête pour les monter tout seul. Je fais pas mal de montage à blanc avant de ...